Qu'est-ce que le ribose?
Suppléments
Qu'est-ce que le ribose et ce qu'il fait ?
Le ribose est un sucre unique à 5 carbones, présent naturellement dans toutes les cellules vivantes et constituant la partie glucidique de l'ADN et de l'ARN. Le ribose est également le sucre qui initie le processus métabolique de production d'ATP. L'ATP est la plus grande source d'énergie utilisée par les cellules, en particulier les cellules du tissu musculaire. Très semblable à la créatine.
Recherche sur le remplacement du ribose et de l'énergie chez les athlètes
L'exercice intense provoque une baisse significative des niveaux d'énergie du système musculo-squelettique. En fait, il faut environ 3 jours ou plus pour que cette énergie revienne à la normale. Des études récentes ont montré qu'une supplémentation en ribose peut accélérer le processus de réapprovisionnement en énergie, vous permettant ainsi de vous entraîner plus, de récupérer plus rapidement et de construire plus de masse maigre.
Comment Ribose peut aider un bodybuilder ?
Toutes les recherches effectuées sur le ribose ont prouvé qu'il pouvait augmenter l'énergie musculaire, augmenter l'endurance et favoriser une récupération beaucoup plus rapide. C'est la méthode la plus efficace pour augmenter l'intensité d'un entraînement de poids.
Comment prendre Ribose ?
Des recherches ont montré que 3 à 5 grammes de ribose consommés par jour suffisent à couvrir tous les besoins du corps. Les athlètes d'élite peuvent présenter un besoin plus important, environ 10 à 20 grammes.
Un bon moyen de déterminer le dosage qui vous convient est de commencer à ne prendre que 5 g par jour. Si vous ne ressentez aucun effet, augmentez la dose de plus de 5 g, mais ne dépassez jamais 20 g par jour..
Références:
1. Gross M. Kormann R, Zollner N. "Administration de ribose pendant l'exercice: ..." Klinische Wochenschrift 69: 151-155, 1991.
2. Wagner D, Gresser U, Zollner N. Effets du ribose Oal sur le métabolisme musculaire au cours d'un ergomètre de vélo chez des patients présentant un déficit en AMPD. Annales du métabolisme nutritionnel 35; 297-302, 1991.